Energy Transition: Africa can amaze the world – Here are the conditions // Transition Énergétique : L’Afrique peut étonner le monde – Voici à quelles conditions

While the world is busy implementing the resolutions related to the so-called Energy Transition, Africa is more than ever at a crossroads. Indeed, while some cynics have observed that climate funds could prove to be another way for African countries with high potential for the new energy economy, namely those with huge deposits of mineral resources, to mortgage their resources with money lenders, it is not up to the continent to seek to go it alone in a world that has become a global village.

No. Africa does not need to reinvent the wheel. Africa can do well by adapting technologies developed by others for its own good. So, with the right environment, many Africans in the diaspora, who have excelled in various areas of technology, including oil and gas, will be happy to return home and help make their societies better.

We can also attract non-Africans to Africa with the skills required to help us adapt and develop our technologies. All we have to do is to commit ourselves, at all levels of our societies, to creating an environment conducive to the transformation of our continent.

The solution is there. It lies in the ability of States to create an enabling environment to attract qualified human resources to Africa to work in our regional centres of excellence in oil and gas. As for the institutions, it will be a question of buying their franchises, their laboratories and their research equipment. We can agree with them to relocate their facilities to Africa if they are allowed to do so.

 It is therefore more than clear that in order to achieve its goals, Africa will need two important inputs: political will and financial commitment. And for both of these contributions to be made, African leaders must view energy security as directly linked to national security.

Suffice it to say, as long as Africa does not classify energy security as essential to our national security, the continent will continue to grope in the dark.

Pendant que le monde s’active pour implementer les resolutions liées à ce qu’il est convenu d’appeler la Transition Énergétique, l’Afrique est plus que jamais à la croisée des chemins. En effet, si certains cyniques ont observé que les fonds climatiques pourraient s’avérer être, pour les pays africains à fort potentiel pour la nouvelle économie énergétique, à savoir ceux qui possèdent d’énormes gisements de ressources minérales, une autre façon d’hypothéquer leurs ressources auprès des prêteurs d’argent, il ne revient pas au continent de chercher à faire cavalier seul dans un monde devenu un village planétaire.

Non. L’Afrique n’a pas besoin de réinventer la roue. L’Afrique peut bien faire en adaptant les technologies développées par d’autres pour son propre bien. Ainsi, avec un environnement approprié, de nombreux Africains de la diaspora, qui ont excellé dans divers domaines de la technologie, y compris le pétrole et le gaz, seront heureux de rentrer chez eux et de contribuer à rendre leurs sociétés meilleures.

Nous pouvons également attirer en Afrique des non-Africains ayant les compétences requises pour nous aider à adapter et à développer nos technologies. Tout ce que nous avons à faire, c’est de nous engager, à tous les niveaux de nos sociétés, à créer un environnement propice à la transformation de notre continent.

La solution est là. Elle reside dans la capacité pour les Etats de créer un environnement favorable pour attirer les ressources humaines qualifies en Afrique pour travailler dans nos centres régionaux d’excellence pétrolière et gazière. Quant aux institutions, il s’agira d’acheter leurs franchises, leurs laboratoires et leurs équipements de recherche. Nous pouvons convenir avec eux de délocaliser leurs installations en Afrique s’ils sont autorisés à le faire.

Il est donc plus que clair que pour atteindre ses objectifs, l’Afrique aura besoin de deux apports importants : la volonté politique et l’engagement financier. Et pour que ces deux contributions soient apportées, les dirigeants africains doivent considérer la sécurité énergétique comme directement liée à la sécurité nationale.

Autant le dire, tant que l’Afrique ne classera pas la sécurité énergétique comme essentielle à notre sécurité nationale, le Continent continuera à tâtonner dans l’obscurité.

other posts

APPO African Petroleum Producers' Organization
APPO African Petroleum Producers' Organization
APPO African Petroleum Producers' Organization
APPO African Petroleum Producers' Organization

Presentations & Speeches

APPO African Petroleum Producers' Organization